Gerard a écrit:
Bonjour,
En effet, ce n'est pas évident, mais en traitant plusieurs films pris de plusieurs endroits, (ce que j'avais fait avec Patrick S. il y a qqes années) on parvient à reconstituer la trajectoire brillante -donc rapide-. Ensuite, pour un caillou de la taille d'un fruit, il y a un net ralentissement, et le caillou a une trajectoire finale parabolique quasi verticale (et non visible), avec une vitesse relativement faible, de l'ordre de qqes dizaines de mètres par seconde. C'est cette vitesse relativement faible qui fait que le caillou ne s'enfonce pas dans le sol, et donc qu'on peut le retrouver, avec de la chance, et surtout, à condition que le point d'impact soit en pleine nature.
Gérard
Tout à fait

En fait, la trajectoire quasi verticale après freinage est un peu grossière. Le vol "obscur" dure finalement nettement plus de temps que le vol "brillant" et les vents font dériver le caillou. Les organismes qui cherches les météorites, trouve le données météo locales et en tiennent compte.