Méry sur Oise le 10 Octobre 2016

Ce matin était bien frais et même frisquet avec pour moi un petit grattage de parebrise pour partir

Tous au rendez-vous à l'école de Méry pour montrer à nos petites têtes blondes et le système solaire , et l'astre radieux avec deux coronados la paire de jumelle de Laurent et le téléscope de gérard.

Laurent a piloté l'exposé en intérieur pendant que les quasariens installaient le matos sous le soleil pâle





Juste 5/10 minutes en début de matinée à faire mirer les enfants dans les instruments et déja les nuages nous gâchaient la vision



Et les jeunes nous ont parlé de la lune ????? Il a fallu de nombreuses répétitions pour leur faire imprégner que c'est le soleil qui leur était montré (avec en prime quelques tâches noires, celles que l'on voit ci-sdessous)



Ce n'est qu'en fin de matinée que notre astre s'est à nouveau à peu près découvert Donc remontage de la paire de jumelles et d'une lunette solaire.

Tout est bien qui finit bien et nous aurons eu malgré tout un peu plus de chance que la fois dernière (la vue du clocher d'auvers sur oise et des antennes ...).

Encore merci à Jean Pierre pour cette tablée "chinoise" qui nous a permis un bon moment ensemble le midi.

Merci Marco pour ce reportage photos.
Merci Jean-Pierre pour le repas de midi.
Et merci à Marco, Jean-Pierre, Gérard et Jean-Marc pour leur présence et leur aide lors de cette matinée.
C'est vraiment sympa de pouvoir faire profiter de notre passion aux gamins et de répondre à leurs questions intéressées ou parfois un peu loufoque du style "Msieur, est-ce qu'il y a des arbres à pizzas sur les autres planètes ?" Oui mon petit, c'est même la raison pour laquelle au club nous sommes en train de construire une soucoupe volante !

Merci Marco pour ton reportage photo et pour ta participation.
Le contact avec les enfants n'est pour moi qu'un grand bonheur...
Leur vivacité, leur spontanéité et leur perception de tout ce qui les entoure m'étonnent toujours.
Quand ce petit être, humble et pliant les genoux,
Attache doucement sa prunelle sur nous,
Je ne sais pas pourquoi, je tremble...
Dans ce naïf regard que l'ignorance égaie,
L'étonnement avec la grâce se confond,
Et l'immense lueur étoilée est au fond.
Victor Hugo